Petit mot de Fritte

Alors tout d'abord...

Bienvenu sur ce blog !

Ici c'est coup de fritte, petites anecdotes et mes histoires.
J'écris une nouvelle aventure, vous pouvez voir plus de détails dans "création", à droite.
Un petit mot à la fin des notes, ça fait super plaisir, hésitez surtout pas. Merci à vous !

Et surtout bonne lecture.

vendredi, mai 28, 2010

Encore une autre retrouvée, toujours pas terminé.

« Je n’ai personne où aller
Quand le cœur se fait trop sombre
Que la lumière devient l’ombre
Et que mon âme est trouée »

La musique douce, calme m'emportais dans un autre monde...
L'odeur d'une cigarette me pique le nez, je rouvris les yeux, me ramenant a la réalité.
Dure, froide, humide même, sous un abris de bus, nous étions plusieurs a nous cacher de la pluie, légère peut-être, mais elle était bien là.
Un vieil homme fumait sa clope, surement pour s'occuper, attendant patiemment l'heure, je me décalais pour éviter cette désagréable fumée.
Un peu plus loin, deux jeunes filles sentais le parfum a plein nez, c'était déjà mieux, et pis c'était ça, ou la pluie.
Je pris une bouffée d'air, qui me réveilla un peu plus.
Nous sommes un janvier, l'année n'importe peu, le temps défile tellement vite que j'en oublie mon âge.
J'attends le bus, pour partir vers mes cours, cours de développeur web, habillé d'un long manteau, et d'une écharpe chaude, j'essaie de combattre le froid sans me transformer en esquimau.
Nous ne sommes qu'en Belgique, imaginons seulement le Québec.
Le bus arriva, je monta après les deux jeunes filles et m'assis dans le fond, de là on peut apercevoir tous les gens qui montent et descendent.
Non pas que je suis paranoïaque, mais cela m'occupe le temps du trajet.

Arrivé a destination, ou plutôt a la fin de la boucle du bus, je descendis, pris une gaufre, et continua ma marche, vers les locaux de mes cours.
Quelques minutes plus tard, j'entrais dans la salle, où le prof m'attendait.

« Hé bien, toujours à l'heure a ce que l'ont peux voir, Matthews. Asseyez vous. Aboya-t-il. »
Je pris place dans le plus grand silence, part respect pour les autres, sortis un cahier de note, et recopia au mieux le tableau, tout étant attentif.

Le temps n'avance guère, quand vous vous ennuyez, part contre, quand quelque chose vous occupe l'esprit, voir votre curiosité, vous ne voyez pas le temps passer.
Est-ce donc le temps qui passe plus vite, ou vous qui ne regardez pas le temps passer...
Il ne faut pas trop chercher a comprendre, car ce ne sont que des points de vue, et tout point de vue, est différent, vu part d'autres.

La sonnerie retentit, c'était l'heure de la pause dîner.
Le prof nous lâcha, a l'exception de moi même, ou il voulut s'entretenir avec moi.
« Écoutez, vous êtes brillant, mais ne vous reposez pas sur vos lauriers, ou je serrai contraint de vous virez, est-ce bien claire?.. »
«Oui Mr. »
Que pouvais-je répondre a cela, a part une réponse toute faite, et qui ne m'aurais attiré aucun problème.
Je sortis de classe, et re-lis quelques notes, pour le prochain cours.

La pause dîner étant terminée, nous retournions en cours, a l'heure cette fois, pour changer.
Le cours se poursuivit, mais des cris se firent entendre au dehors.
Le professeur ouvrit la fenêtre pour nourrir sa curiosité.
Des gens courraient, fuirent, mais quoi...
Un sifflement strident, la terre commença a tremblée, le ciel s'assombrit, un grondement...

Le prof cria, pis se jeta sur le côté, je me tournas vers la fenêtre pour comprendre, et je vis une énorme ombre entourée de feu se dirigée vers l'immeuble où nous étions.
Je chercha pas a comprendre, et couru dans le couloir, pis vers le côté du bâtiment, arrivé au bout, l'escalier était bondé d'étudiants et de personnes qui encombrait le passage, je jeta un oeil part la fenêtre du troisième voir où en était l'ombre, il restait pas grand chose, pour qu'elle écrase totalement l'immeuble, voir peut être le quartier...

Je baissa les yeux, et vis un étang sous la fenêtre, je me dis, autant mourir en essayant de sauvé sa peau, je pris un peu d'élan, couru vers la fenêtre, sautant a travers, et me mis en boule pour tombé dans se froid glacial.

Je rouvris les yeux, remonta a la surface, c'était profond n'empêche, sortis de l'étang pour éviter une pneumonie, et leva les yeux au ciel.
C'était une énorme météorite, gigantesque...comment n'avions nous pas été mis au courant part la presse..
Je réfléchis, fallait-il courir et fuir? Ou replonger dans l'étang et ainsi éviter l'onde de choc, voir les flammes, et la carbonisation...

Je replongea, part flemme de course, et a peine rentré dans l'eau, je sentis l'impact de la géante météorite s'écraser sur la Terre, je vis part dessous l'eau, les puissantes flammes, et les voitures, arbres, briques, morceaux d'immeuble passé part dessus l'étang.
Un tronc tomba dans l'eau, je ressortis la tête pour respirer et vis le chaos.

L'immeuble avait été soufflé, le quartier complètement détruit, et a quelques kilomètres de là, la météorite finir sa route.
Je pris mon téléphone portable, me rassurer pour ma mère.

Aucune tonalité, une antenne avait dû être bousillé.
Et peut-être pas qu'une, me disais-je.
Je chercha un moyen de me déplacer rapidement, pour rentrer à la maison directement.
Je brisa la vitre d'une voiture, et pris la place chauffeur, cherchant a démarrer la voiture quand soudain.

« Hey, vous voulez un coup de main? Sortez de ce véhicule ! Mains en l'air! » cria un policier, son arme braqué sur moi.

J'obéis, « vous avez pas autre chose a faire que de m'arrêté, vous voyez pas le chaos qui règne là? »
lui criais-je.

« Vous êtes en train de profité de ce moment pour contourner les règles, j'vous amène au poste dès que les secours seront là. » me répliqua t-il.


Il s'approcha, surement me passer les menottes, mais je vis part dessus son épaule, une deuxième boule se rapprocher rapidement.
« à terre ! » lui criais-je en lui sautant dessus, il tira un coup de feu et tomba sur le dos.
La deuxième météorite tomba plus loin que la première, dévastant tout Liège..
Je ne ressentis aucune douleur, le coup de feu avait dût me raté.
Le policier choqué se releva doucement, ébahis, perdu.

Je le bouscula et pris sa voiture, me dirigeant au plus vite au pont le plus proche, pour traverser avant qu'il y en a aille plus.
La radio de la voiture grésillait, plus rien ne fonctionnait, était ce la fin ...

Arrivant à la maison, ayant une vue impressionnante sur les dégâts causé part les deux météorites, ma mère arriva a la maison, a son tour.
Elle me prit dans ces bras, rassurée.

« Il faut partir loin, très loin d'ici avant qu'il en retombe. » conseillais-je.
Elle acquiesça d'un signe de tête et prit quelques affaires, et provision.
On monta dans sa voiture, et nous nous dirigeâmes vers l'autoroute, direction l'Allemagne.


Voilà toujours pas finie, et je pense pas la terminé avant un moment...

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