Petit mot de Fritte

Alors tout d'abord...

Bienvenu sur ce blog !

Ici c'est coup de fritte, petites anecdotes et mes histoires.
J'écris une nouvelle aventure, vous pouvez voir plus de détails dans "création", à droite.
Un petit mot à la fin des notes, ça fait super plaisir, hésitez surtout pas. Merci à vous !

Et surtout bonne lecture.

lundi, septembre 14, 2009

Une histoire, écrite dans le train a mon retour de Belgique.

Le soleil venait d'apparaitre d'entre les nuages, la couleur rouge violacée, orangée, crééait un beau mélange.
L'aube, l'un des deux plus beau moment de la journée.
Il y fesait doux, légèrement humide, avec la rosée du matin.
C'était l'automne, les arbres se dénnudaient, les feuilles volaient, les oiseaux migraient...
La température était pas trop fraîche, ni trop sèche, elle était parfaite.
La douce brise de vent, avec les rayons du soleil étaient agréable.
Un mélange parfait, pour un début de journée parfait.

Du haut de ma fenêtre, je regarde ce magnifique tableau, sur le fond de l'aube, vient se planté une cathédrale, légèrement

plus loin la gare, un peu plus près la ligne de tram, vue sur le fleuve, calme lui aussi.
Seuls les canards et les cygnes sont nerveux.

J'ai vue, également, sur la rue principale, une grande rue piètonne, bondée de gens allant travailler, ou rendre visite a leurs

amis, leurs famille, parfois même juste aller cherché leurs pains.

Je me penche un peu, vers la fenêtre de ma voisine.
Elle avait laisser entre-ouverte, ou l'on pouvait l'entendre chantonné un refrain assé connu...

-"Hmmmmm Hmmmm hmhm mhmmm"

Je souris, et je l'accompagne en fredonnant le refrain, prennant le chemin du couloir.
J'appuis sur l'ascenseur, puis descends les escaliers...
Trois étages plus bas, je vois l'ascenseur redscendre, j'ouvre ma boîte aux lettres, comme si un facteur pourrait livrer de

nuit, la blague.
Et elle sort de l'ascenseur, me sourit, elle porte ces mains a ces oreilles, les dégageants de ces cheveux blonds et lisses,

pour y posé ces écouteurs.
Surement son Ipod avec la musique quelle chantait deux minutes plus tôt dans son appart'...
Elle détacha son vélo, je pris ma planche et lui ouvra la porte.
Elle me fit signe de tête, tout en continuant de me sourire, je devais lui plaire, c'était certain...
Elle passa, me fit un clin d'oeil avant de s'éloigner au coin de la rue.
Je mis mon mp3 en route, metallica (One) dans les oreilles en boucle, pour me motiver et partit de mon côté.

La journée commencait bien, quelques figures, des backs flips, un ou deux slide pour se mettre en valeur sur les places

bondés d'étudiantes...
J'arriva au marché, où je m'arrêtais prendre mon petit déjeuner comme tout les matins.
-"Hey Mat', quoi de neuf vieux?"
Un vieil ami, un boulanger ambulant, qui avait pris pour habitude, de laisser son magasin a sa compagne, et lui aller au

marché, boire un coup avec ces potes, et vendre ces quelques croissants, pains, baguettes...
-Bah ça va, et toi, les affaires..
-"Comme toujours, parfaite....et elle était là ce matin? Tu lui as parlé.?
-Bof, non, elle est toujours aussi ravissante..
-"Moi a ton âge, tu sais, je n'hési..."
-Je sais, je sais, mais ....
J'hésitais a continuer, je me serrai enfoncer, si je l'avais fait....il me regardait avec des grands yeux.
-Mais je ne veux pas briser ce train-train, j'adore la voire le matin comme ça... on verra plus tard.
-"Toujours la même rengaine, a toujours dire des conneries, aller dégage, t'as un journal qui t'attends!!"
Il me jeta un croissant aux chocolats, et je le remercia, en l'attrapant au vol.

Partit sur ma planche, zigzaguant dans le peu de personnes présent au marché, trop tôt surement...
M'arrêta au kiosque a journaux...
-"Haha toujours a la même heure, tiens voilà la Une, tes nouvelles ont été publiés, continue comme ça! j'adore tes

histoires."
Max, ce bon vieux Max, ca fesais plus de dix-sept ans qu'il tenait sa vieille boutique, qu'il cédera pas.
-Merci beaucoup, ce sont des lecteurs comme toi, qui me motive.
Je fila direct, évitant devoir signer un autographe, tel la star que j'étais,... quel connerie je peux sortir parfois.

Je continua ma route, finissant mon croissant, lisant les critiques sur mes quelques lignes publiées.
Je fis une halte sur les escaliers d'une place plus loin, beaucoup d'étudiants, de professeurs, d'hommes d'affaires lisait le

journal, j'attendais les réflexions, les critiques fusées.

Critiques négative, constructive, toujours un débat lancer a l'aveuglette dans ces escaliers, anonymat tenu depuis tout ce

temps... pour évoluer.

-"Ha il a fait un effort sur sa citation de fin"
Dit un élève un peu bouffi.
-"Arrête il a toujours fait une super fin!!"
Répondit une jeune brune a ces côtés.
-"En même temps, depuis six mois qu'il publie, il a toujours pas resortit une citation déjà écrite..."
Dit un professeur.
-"Moi je le kiffe, il a une trop grande imagination"
un autre élève.
-"C'est surement une fille"
Crâna une bande de filles pas loin.
-"Toujours a changer de début, toujours bien décrit, souvent changer de thème, ca fait de lui un bon écrivain, je ne pense

pas qu'il pourrait faire un livre complet, mais les nouvelles c'est son truc !"
Lâcha une jolie brune.

C'était Naomie, une fan, j'avais reçu une photo d'elle, avec un petit mot au journal...
Elle voulait me rencontré, étant fan, elle aurait aimé sortir avec Stake.

Stake est mon pseudonyme pour le journal, seul le patron, la secrétaire, et moi-même connaissont ma véritable identitée.

Je me nomme Matthews, j'ai vingt-trois ans, je vis dans une ville assé grande, peu importe le nom, peu importe le pays,

saché juste, que j'ai réussi ma vie en démissionant de mon poste de cuisinier dans un restaurant gastronomique, très

luxueux, très ... bourge.

Tout a commencé, quand j'ai posté ma première nouvelle au journal, où je travail actuellement.
Le patron était pas trop motivé de retirer une rubrique "Appels voyance, femme...", contre une page de texte, récits,

d'une histoire, pour amuser , divertir la galerie.

Au début, mes écrits étaient pas dans un but précis, j'essayais, part conseil, et proposition d'amis.
Et puis, un matin j'ai découvert une nouvelle page dans le journal.
Une de mes nouvelles publiées....
Je n'y attacha guère d'attention, mais assis sur ces escaliers, j'entendis les étudiants, professeurs, hommes d'affaire en

débattrent...
Ils adoraient l'idée, ils lisaient a tour de rôle, un bout de la nouvelle, je souris en écoutant.

Le débat commencait a la fin de chaque couplet... pour y mettre un certain suspence, des paris se fesaient sur la suite des

évènements.
Et le lendemain, n'ayant pas envoyé de nouvelle, le journal remis la rubrique appels.
Sur les escaliers, la deception était au rendez vous, certains délaissèrent leurs journals sur les escaliers... acheté pour rien,

dépensé pour rien, ils partirent plus tôt au travail, en cours...aucun débat, aucunne discution...

Le soir même, le téléphone retentit, je decrocha.

-"Allo, monsieur Matthews?"
- oui c'est moi, a qui ai je l'honneur?
-"Je suis Mr Bigguels, patron du journal de notre petite ville, je vous téléphone pour une simple demande."
-Ha?..
Je savais qu'il allait me demander une autre nouvelle.
Mais celle là ne serrait pas cadeau, il devra y mettre le prix !
-"Oui, je vous propose un travail, je ne sais pas si vous en avez un, mais votre nouvelle a fait grimper les ventes, et se

matin, les chiffres ont baissé, c'est phénoménal.
-ho... euh et bien.. quand je peux commencer?
-"Demain, première heure, au journal, prennez y vos idées, votre plus belle plumes."
-euh .. ok merci.... a demain...
-"A demain six heures."
Et il raccrocha, j'étais plutôt surpris, un travail, si vite, je ne sais pas si j'aurai assé d'idée pour faire ca tous les jours...
Mais heureux, je releva le défi, et rentra bosser sur des idées de nouvelles.
Pour ne pas aller là-bas sans idée a proposer.

Et c'est comme ça que tout a démarré, une nouvelle, un nouveau genre, et la machine était en marche, comme si elle était

huilée depuis longtemps, prête a servir.

Je me leva des escaliers, et pris le chemin du travail, je déposes mon skate a l'entrée, comme tous les matins.
J'embrassa la secrétaire, fit signe a tous les écrivains, reporter, analyseurs, ... salarié de la boîte.
Et je m'assis dans un petit bureau, avec une géante fenêtre, je l'avais demandé, c'était ma seule demande, une géante

fenêtre, avec vue sur le parc.
De sept heure à midi, j'avais un magnifique soleil, pas trop chaud, pas éblouissant, juste ce qui me fallait.
Mon bureau était poser a l'envers, de sorte a ce que , quand je rentre dans la pièce, je n'ai qu'a tirer ma chaise, je n'avais

que rarement des visites, ou je me deplacait a l'exterieur, ou dans la salle de conférence.


[Pas fini, à suivre mais plus de baterie]


ha oui, et j'ai eu la flemme de continuer, une prochaine fois peut être ;)
Tchu

1 commentaire:

Véro a dit…

et la suite je veux savoir

celle qui connais ton prénom favori