Petit mot de Fritte

Alors tout d'abord...

Bienvenu sur ce blog !

Ici c'est coup de fritte, petites anecdotes et mes histoires.
J'écris une nouvelle aventure, vous pouvez voir plus de détails dans "création", à droite.
Un petit mot à la fin des notes, ça fait super plaisir, hésitez surtout pas. Merci à vous !

Et surtout bonne lecture.

samedi, septembre 05, 2009

Comment voudriez vous mourir..ou comment voyez vous la mort.



Oui comment vous voyez vous mourir... question peu farfelue, et remplis de sens différents.


Mourir vraiment?
Mourir en allant couchés tes rancœurs, ta haine de la journée?
Mourir en disant que vous avez eu des problèmes et que votre père/mère va vous tué.?

Non, je parle de la mort en elle même, comme la voyez vous...


Le froid vous emportant petit à petit, perdant tout sens de goût, odeur, sensation, vue...

Ne sachant plus respiré, et en pensant a ce qu'il va arrivé a la prochaine étape.

Ou a votre passé, si loin déjà, mais si court en même temps...


Ma mort, serra très radicale , je n'aimerai pas du tout souffrir, pas part lâcheté, loin de là, je n'ai juste pas envie qu'on me fasse chier a me garder en vie avec une machine, et trois jours plus tard avoir bien fait souffrir tous ceux qui vous aimait, vous regardant sombré doucement, très lentement, finir pas les abandonnés.

Je ne peux pas partir comme ça.

Je préfère me prendre un bus, tomber d'un étage, d'un pont, prendre un coup fatal, qui me laisserai vivre environ une à trois minutes maximum, juste le temps de dire quelques mots, ressentir une dernière fois la douleur, la vie, et crevé en silence.

Ou un coup de couteau bien placé, qui me ferrai tenir quelques minutes pour finir part succombé, a ma blessure, et en finir avec la dure réalité

Comme l'autre soir ou j'y ai penser.

et j'me suis fais un trip : ou plutôt une imagination de ma propre mort.




Le tram s'arrête, place Brogglie, il fait asse bon, nous sortons en sortons, et nous nous dirigeons vers la place kléber, pour allé chercher un peu de bouffe.

Un léger vent se fait sentir, l'hiver approche....

Un peu plus loin, sur la place, un attroupement de personnes huant et criants des insultes...

Un prisonnier arrêté se fait embarqué part la police.

Nous nous approchons, pour voir le spectacle... si l'ont puis dire.

Et là le prisonnier frappe un policier, celui ci a terre ne peut aidé son collègue se fessant agressé.
Le prisonnier se saisit de son arme de service et s'enfuit vers la foule, vers nous...

On lui barre le passage, sous le stress, et surement la peur, la nervosité, il braque le groupe, et crie de nous écarté.

Je ne le fais pas, il me braque et commence a perdre patience, la tension est au maximum, quand un flic lui saute dessus...

Le coup part tout seul, un coup si brouillant, que mes tympans l'entende encore...

un sifflement dans l'oreille, me fait un mal de chien, mais j'ai mal au torse, au poumon droit pour être exact...

Je souffre, une sensation de froid m'envahis, pas désagréable, loin de là, mais un froid... j'ai la chaire de poule.

Ma chemise commence a s'humidifier, elle prends un peu de chaleur, mais en regardant, je vois qu'elle est rouge vive..

du sang... je viens de comprendre, je me suis pris une balle....

tombant sur les genoux, je ressens même pas la douleur en tombant sur les genoux.

je n'oses pas porter une main a ma poitrine, je n'oses plus regardé...

Je cherche des yeux mon ami, je commence a perdre l'équilibre, les sens m'abandonnent, je perds trop de sang.

mon meilleur ami arrive, et me penche vers l'arrière, en pressant contre ma poitrine avec une mouchoir, en criant d'appeler une ambulance.

Pour moi, c'est déjà la fin, il est temps de tiré révérence, l'heure d'abandonné tout....

Je ne ressens plus aucune douleur, le froid se fait oublier, et je commence a brouillé la vue....

J'essaie de me maintenir le maximum éveiller, je n'ai plus la force de parler... je ne puis plus qu'écouter.

Au loin les sirènes des ambulances, les policiers arrivent...

Mais moi je revois mon passé, on dit toujours qu'on vois son passé, je n'ai vu que les mauvaises choses, les pires, celle qu'on retiendra de cette planète...

Nous ne pensons pas a ce que nous avons fait, mais ce que les gens qui nous perde en quelque sorte, vont peut être devenir...

Comment vont ils tournés.. comment vont ils taire leurs rancœurs, leurs haine tous ensemble, pour un jour, un respect d'un mort...

Je ferme les yeux, en pensant a tout ce que j'abandonne, je perds.....
Le téléphone serra coupé, faute de réapprovisionnée de carte ... de crédits.
Mon appart serra vidé, et tout retournera en Belgique...
Fritte serra oublier, le compte oublier, perdu.
Le travail m'aura oublier après 2semaines sans nouvelles....
aucune copine a récupère..
aucun animal a s'occuper...

je ne laisserai rien derrière moi. a part une chose .

Le bon sens d'une vie, qui a enfin trouvé sa liberté .


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