Petit mot de Fritte

Alors tout d'abord...

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Ici c'est coup de fritte, petites anecdotes et mes histoires.
J'écris une nouvelle aventure, vous pouvez voir plus de détails dans "création", à droite.
Un petit mot à la fin des notes, ça fait super plaisir, hésitez surtout pas. Merci à vous !

Et surtout bonne lecture.

dimanche, juin 14, 2009

Petite histoire... d'un de mes héros favori :)

Une douche chaude, agréable au matin, elle coulait dans son dos, le relaxant.

Il prenait sa douche paisiblement, quand on frappa a la porte...

-hmm qui est ce !?

Bruit dans le couloir, prouvant qu'il y avait du monde...

Il sortit de sa douche , la laissant allumée, s'habilla rapidement, sans bruit.

-Qui est là!?, insista t il.

"C'est la police Monsieur, ouvrez!"

-2minutes s'il vous plaît, je suis sous la douche !

Il s'empressa de sortir de la salle de bain, silencieusement passer devant la porte de son appartement, où se trouvaient les policiers, ouvra une fenêtre délicatement, et pris un grand souffle...


Les policiers dehors n'attendaient pas, l'un d'eux pris un pied de biche et l'y enfonça, de toute ces force, dans la jointure de la porte !

Un grand bruit se fît entendre, et Matth sauta par la fenêtre !

Il s'accrocha de justesse a la gouttière d'en face, qui tarderai pas a cédée sous son poids, il la remonta et courra vers un côté.

Les policiers firent irruption dans la salle de bain, en ayant explosé la porte d'entrée.

Ils regardèrent pas si quelqu'un était sous la douche ou non, ils tirèrent dans le rideau qui séparait la douche a ces derniers.

Un carton.., mais personne !


Énervés, ils cherchèrent après le locataire des lieux, l'un d'eux s'écria.

"SUR LES TOITS D'EN FACE !"

Ils se ruèrent, tels des loups affamés sur leur proie, ouvrèrent les fenêtres et commencèrent a tiré vers notre fuyard...

Ce dernier s'accroupit, pour éviter de glisser ou être touché.

Il sortit une arme a feu, et répliqua !

S'échangèrent des coups de feux, au 5ième étage de la grand rue de Strasbourg, une violente détonation, un gros nuage de fumé, et Matth se retrouva dans l'immeuble sur lequel il était au paravent.

Deux policiers se ruèrent sur lui pour l'attraper.

Il évita d'un coup de bassin le premier, et fît "la corde a linge" sur le deuxième, dépecé de ces adversaires, il courra dans la pièce d'à côté, où il rouvrit une fenêtre et sauta sur le toit voisin.

Les policiers descendèrent quatre à quatre les escaliers de l'immeuble, pour poursuivre Matth.

Matth qui courrai sur les toits pour aller plus vite, se trouva coincé sur un toit qui n'avais plus de suite, qu'un mur beaucoup trop haut pour lui...


Il descenda par derrière, sauta dans le jardin, et puis se retrouva dans une petite ruelle, très charmante du centre de Strasbourg.

Des petites ruelles étroites, qu'on vois beaucoup dans ce quartier, ou il est facile de s'y perdre, voir même de s'y estompé.

C était là , l'idée de notre héros, se fondre dans la masse de touristes, vagabonds, marchands en tout genre, voir même de livreurs.

Il marcha donc, a pas assuré et rapide, vers le fleuve de l'Ill, il s'arrêta net au début du pont, en face un combi de policiers, avec chiens muselés, l'attendaient.

Il marcha le long du fleuve, vers l'autre pont, les policiers ne l'ont pas vu, il les regardai du coin de l'œil, tout en accélérant sa marche.


Il bouscula un clochard qui tomba sur le bas côté de la rue, et s'écria;

- HAAaaaaaaaaa le salaud ma poussé !, Il veut ma mort ! A l'aide !

Matth le fixa, puis essaya de le relevé, mais le clochard ricanait, tout en criant:

-aaaah tu veux me faire taire maintenant !! à l'aiiiiide..

Matth n'avait pas le temps, il se retourna pour traversé le pont, laissant l'autre a ces singeries.

Mais se retrouva face a des policiers, braquant leurs armes...

"Suivez nous pas de geste brusque !"

S'écrièrent-ils, Matth pris l'arme d'un, la levant vers le ciel, donnant un coup de coude a un autre, qui vacilla sous le choc, sonné.

Frappant, de son pied gauche, la main que tenait l'arme d'un autre, il redescendit la main de l'autre et la frappa sur son genoux,du pied qui était levé deux secondes plus tôt, fessant tombé l'arme de ce dernier, puis le fesa tombé dans le fleuve.

Il évita un poing dans sa direction, du policier qui venait de perdre son arme, dû au choc du pied, et lui fît une clef de bras, tel une prise de judoka.

Le policier se retrouva a terre, en deux secondes, Matth le relâcha et commença un sprint vers la gare.


Les autres flics de l'autre pont, le vît et lâchèrent les chiens , en prenant soin de viré les muselières.

"Attaque !" crièrent-ils aux chiens...

Les chiens grognèrent, aboyèrent, tout en fonçant sur leur proie, qui sautait au dessus des voitures, glissait sur les capots pour aller plus vite.

Les chiens sillonnaient les voitures, pendant que Matth courrait déjà dans la rue menant a la gare!

Les gens criaient, se poussaient sur le côté, craignant les chiens assoiffés de chaires fraîches...

Matth qui essayait d'éviter un maximum de personnes, pour pas perdre de temps, tout en facilitant pas les chiens a sa poursuite.


Il traversa de justesse la rue bondée de voiture en route, les chiens, eux s'arrêtèrent.

Attendant de pouvoir passé sans danger.

Matth souriait déjà de sa victoire, il entra dans la gare, couru vers les voies les plus proches.

Des vigiles, et des gardes de sécurité étaient déjà informé de sa venue, le cherchait.

Il jeta un rapide coup d'œil sur les heures de trains, voir lequel était le mieux, pis trotta vers la voie B, et on entendit:

-Le train 76.890, en provenance de Mulhouse, et en direction de Bâle, entre en gare voie B, 2minutes d'arrêts.

Parfait, ce dit il, montant les escaliers, évitant de se faire remarquer par les gardes, et chefs de gares.

Il monta dans un wagon, sans problème jusque là, puis se chercha une place loin des fenêtres et portes, pour éviter d'être repéré.


Il repris son souffle de la course qu'il venait de faire, tout en scrutant les alentours.

Le chef de gare siffla, et le train ferma ces portes.

Le petit ac coup, qui défini le démarrage du train, se fît sentir, puis la gare bougea, puis le paysage de la campagne des alentours de Strasbourg, commença a faire son apparition...

Loin de ces poursuivants, il commença a réfléchir, pourquoi ils voulaient sa mort.

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